corbeau Faites place, j'arrive!!
Nombre de messages : 92 Age : 57 Localisation : Dordogne Date d'inscription : 28/03/2009
| Sujet: Re: Un métier (de sauvage) Mer 17 Juin 2009 - 13:29 | |
| bonjour ça me dégoute quel horreur!!!!! maudit argent qui rend fou les hommes j' ai envis de crier NON Plus jamais ça mais personne enttendra y en a marre de voir des horreurs sur les animaux. parfois le monde ou vie l'on vie me dégoute au plus haut point heureusement que tout le monde n'est pas comme ça, l'année passé un beau chien de berger que je trouvé trés beau se sauvé souvent et allez manger des poules chez le voisin, son maître en a eu marre il l'a tuer a cout de baton . certains ont enfermé leur chien dans un sac avec une poule et donner des coups de baton dans le sac pour faire peur au chien je trouve ça horrible. j' en entend tous les jours des monstruosité de la sorte ça me dégoute, j' ai un trés grand respect pour l'animal. que même jamais je mangerai de la chévre ou de l'âne ha non alors gros bisoux | |
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Jean-Luc Petit Cabri
Nombre de messages : 205 Age : 64 Localisation : Belgique Date d'inscription : 08/03/2010
| Sujet: Re: Un métier (de sauvage) Sam 13 Mar 2010 - 1:30 | |
| Bonjour, comme je suis nouveau et que je parcours le forum, je suis tombé sur ce vieux topic du mois de juin.
Je me pose des questions !
C'est pas possible ce qu'on raconte il faut essayer de comprendre la situation!
voici vraisemblablement le scénario.
Un berger rentrant avec son troupeau de brebis s'apperçoit qu'une bête est au bout du rouleau car elle a perdu bcp de sang . pas de vétérinaire sur place, pas possible de la transporter sur ses épaules, surement encore plusieurs kilometres à faire, Pas possible d'attendre car le troupeau doit etre rentré ...tombée de la nuit. La brebis n'en a plus pour longtemps à vivre , le berger le sait, 40 minutes tout au plus , c'est dire l'état critique de la pauvre bête .
Il aurait été plus humain de l'achever sur place pour lui éviter 40 min d'agonie , mais voila des touristes sont là puis cela se fait pas comme ça .
Donc il décide de poursuivre sa route et lui attache les pattes pour ne pas que la brebis dans un ultime effort n'aie mourir dans un coin introuvable et ne pas retrouver son cadavre .
Dés que ses brebis seront rentrées à l'abris dans la bergerie , il s'est juré de revenir chercher le cadavre là où il a laissé la pauvre bête.
Je répete ,le plus humain aurait été de lui abréger ses soufrances sur place. Mais vous vous imaginé le tollé qu'aurait fait les touristes en train de prendre en photo le berger abrégeant les souffrances de la brebis ?
Je ne juge pas aussi vite ce berger qui n'avait surement pas d'autres solutions.
Je vous pose la question .. Qu'auriez-vous fait à sa place.? Je ne me veux pas l'avocat du diable , j'essaye de comprendre c'est tout . | |
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corbeau Faites place, j'arrive!!
Nombre de messages : 92 Age : 57 Localisation : Dordogne Date d'inscription : 28/03/2009
| Sujet: Re: Un métier (de sauvage) Mer 24 Mar 2010 - 9:54 | |
| - Jean-Luc a écrit:
- Bonjour, comme je suis nouveau et que je parcours le forum, je suis tombé sur ce vieux topic du mois de juin.
Je me pose des questions !
C'est pas possible ce qu'on raconte il faut essayer de comprendre la situation!
voici vraisemblablement le scénario.
Un berger rentrant avec son troupeau de brebis s'apperçoit qu'une bête est au bout du rouleau car elle a perdu bcp de sang . pas de vétérinaire sur place, pas possible de la transporter sur ses épaules, surement encore plusieurs kilometres à faire, Pas possible d'attendre car le troupeau doit etre rentré ...tombée de la nuit. La brebis n'en a plus pour longtemps à vivre , le berger le sait, 40 minutes tout au plus , c'est dire l'état critique de la pauvre bête .
Il aurait été plus humain de l'achever sur place pour lui éviter 40 min d'agonie , mais voila des touristes sont là puis cela se fait pas comme ça .
Donc il décide de poursuivre sa route et lui attache les pattes pour ne pas que la brebis dans un ultime effort n'aie mourir dans un coin introuvable et ne pas retrouver son cadavre .
Dés que ses brebis seront rentrées à l'abris dans la bergerie , il s'est juré de revenir chercher le cadavre là où il a laissé la pauvre bête.
Je répete ,le plus humain aurait été de lui abréger ses soufrances sur place. Mais vous vous imaginé le tollé qu'aurait fait les touristes en train de prendre en photo le berger abrégeant les souffrances de la brebis ?
Je ne juge pas aussi vite ce berger qui n'avait surement pas d'autres solutions.
Je vous pose la question .. Qu'auriez-vous fait à sa place.? Je ne me veux pas l'avocat du diable , j'essaye de comprendre c'est tout . bonjour tu dois avoir raison ça dois étre comme celà que ça c'est passé. enfin il aurait pu envoyer pétre les touristes, y a rien à voir du balai. si on peux plus rien faire pour l'animal , si vraiment aucune solution est possible faut abréger la soufrance . de toute façon tout le monde est pas pareil va savoir ce qui se cache derriére tout celà. je connais des agriculteurs et des éleveurs bien jamais ils fairaient souffrir un animal , ils ont du respect pour eux, et j'en connais d'autres que du profit. | |
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Pinky Membre d'honneur
Nombre de messages : 9184 Age : 57 Localisation : Dans les deux-chêvres ..... Date d'inscription : 08/12/2007
| Sujet: Re: Un métier (de sauvage) Mer 24 Mar 2010 - 10:06 | |
| Dans un monde parfait Jean-Luc ... peut-être ! Oui il existe des éleveurs bien, des agriculteurs biens et des chasseurs bien et même des terroristes biens ! Enfin tout peu avoir une explication c'est pas B&W bien sur ... Mais je pense qu'il faut montrer ce qui ce passe et soulever certaines polémiques pour que les choses avancent dans le bon sens à la fin ..
Voilà S;o) | |
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arche-ange Biquettophile
Nombre de messages : 759 Age : 40 Localisation : province du luxembourg (belgique)- FLORENVILLE Date d'inscription : 19/03/2010
| Sujet: Re: Un métier (de sauvage) Mer 24 Mar 2010 - 22:19 | |
| Aucune idée, tous ce que je ressent, c'est que les photos me font frois dans le dos. Pauvre louloute . Je me souvien, d'un fermier qui essayais de faire rentrer une vache blésser a l'étable. Une pattes prise dans du fils barbelée. Il tapait comme un co- sur son postérieur avec un gros batton. Mais vous comprenez bien la pauvre la pattes plein de sang. | |
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| Sujet: Re: Un métier (de sauvage) | |
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