Ma sœur aînée qui a connu notre arrière grand-mère (née en 1841) a entendu raconter des histoires du temps passé, les gens ne faisaient pas dans la dentelle. La fièvre puerpérale a eu tué jusqu'à 90 % des accouchées à une époque où les toubibs ne voyaient pas pourquoi il fallait se laver les mains. Les mères aimaient leurs bébés bien sûr, mais encore fallait-il qu'il ne soit pas mort né et que la mère ai survécu.
Et aussi quelques autre histoires qui nous feraient dériver du forum des chèvres.
Ceci dit ma grand-mère aimait ses filles, mais la sage femme devait perdre le quart ou la moitié des enfants qu'elle mettait au monde, alors ! . . Pour finir l'histoire je dois ajouter qu'en repassant le lendemain, voyant que le bébé avait bien passé la nuit, la sage-femme a dit "alors elle vivra longtemps". Et là elle ne s'est pas trompée.