maladie de lyme ou bourréliose URGENT

ce message est destiné aux membres qui onT des chevaux, le cheval a ma soeure, est tres malade, il a vus 3 veterinaires, apres de nombreux examens, il on deceler une anemis, il a beaucoup maigris, il a ete vermifuger de suite, ma soeur est toujours en attente pour les examens,apparament, le veto, leur a dis quil aurait contacter la maladie de lyme ou bourréliose,qui est la maladie du tique,
pouvez vous me dire, si certains connaisse cette maladie, et quelle sont les conséquence, c est urgent merci pour elle

Je ne connais pas cette maladie, je regarde dans mes bouquins si j'ai quelque chose !

D'après mes bouquins, les tiques sont dangeureuses en tant qu'inoculatrices du piroplasme, comme pour les chiens.
La piroplasmose se traduit par une forte fièvre avec frissons, une accélération de la respiration, un manque d'appétit, de l'apathie et une faiblesse caractéristique del'arrière train; les muqueuses sont d'un rouge jaunâtre teintées de rose ou foncéee. Seul le véto peut intervenir.

Je n'est rien trouvé concernant la maladie de Lyme ou bourréliose, si tu as plus d'info de ton coté, ça m'interresse de les connaitre !

Un petit truc auquel je pense, la jument de ma voisine a contracté un ténia l'an dernier, les symptomes ressemblaient à ceux que tu nous décris. Un amaigrissement considérable, elle était abbatue et triste, depuis un traitement énergique la mémère a repris du poil de la bête du haut de ses 25 ans !

Internet est un outil formidable, il en dit plus que les bouquins

Voila ce que j'ai trouvé :

http://www.snof.org/maladies/lyme.html

http://www.lymeinfo.net/francais.html

Je n'ai pas encore tout lu, mais si tu veux plus de renseignements, tapes "maladie de lyme" dans ta recherche, bourréliose il connait pas !

ça peut-être intéressant je lirais tout ça lorsque j'aurais 5 minutes!!!

désolée de ne pas pouvoir t'aider mais je n'avais jamais entendu parler de cette maladie.
j'espere que tout se passera bien pour ce cheval; mais le bon côté des choses est que vous ayez pu faire le bon diagnostic comme ça vous pourrez le soigner de la manière la plus efficace.
bon courage à vous et caresses au loulou malade!

Bon moi je ne suis pas un cheval, mais je l'ai eu cette cochonnerie de maladie de lyme étant petite !!!

J'en garde un très mauvais souvenir, j'avais 12 ans, et je me souviens très bien que le traitement antibiotique avait été très lourd. Et que l'endroit où m'avait piqué la tique était très moche et super douloureux !!!

La piqûre de la tique m'avait provoqué une paralysie de la face, pendant plus de 6 mois J'avais été piqué dans le cou.

Mes parents étaient très inquiets, on leur avait parlé de possible sclérose en plaque à l'âge adulte... de fybromialgie... je touche du bois pour l'instant rien à l'horizon...

Mais je me souviens que ça avait été très long pour arriver à m'en débarrasser.

Pour quelques infos sur la maladie Cliquer ici

Chez l'homme la maladie de Lyme donne une asthénie intense des douleurs polyarticulaires, une anémie inflammatoire.... L'incubation peut être très longue, parfois plusieurs mois... Le diagnostic se fait sur la sérologie... le traitement est antibiotiques longue durée.... La récupération est totale, mais cela peut être long.....
Je ne connais pas tous les symptomes chez l'animal, mais cela devrait être équivalent.....

Moi je conné cette maladie mé bon c ma gd-mère qui l'avait alor ché po comment sa se passe pour les animaux

Merci Gamin pour ces infos!!

Je connais cette maladie de nom ... mais juste de nom donc je peux pas t'aider
Par contre merci de nous en parler!! ça fait passer l'info et c'est tres important!

gamin50 a écrit:

Chez l'homme la maladie de Lyme donne une asthénie intense des douleurs polyarticulaires, une anémie inflammatoire.... L'incubation peut être très longue, parfois plusieurs mois... Le diagnostic se fait sur la sérologie... le traitement est antibiotiques longue durée.... La récupération est totale, mais cela peut être long.....
Je ne connais pas tous les symptomes chez l'animal, mais cela devrait être équivalent.....

c est ce qui se produit chez CAPPARIS, annémie, intense des douleurs polyarticulaire, le veto lui a dis de le monter, de le faire travailler pour eviter, que ses muscles s atrophie,mais cette maladie, joue sur son comportement et devient agressif, il est actuellement en box, avec piqure dans la veine tous les jours, et revois le veterinaire dans la semaine, on attends!!!!!!!!!!

La maladie de Lyme (Borreliose burgdorferi)

Cet article n'est pas basé sur mon expérience personnelle mais bien sur des recherches sur la 'toile' afin de trouver l'explication des symptômes diffus présentés par un cheval. Le sujet me semblait néanmoins suffisamment intéressant et peu connu que pour vous faire un résumé du résultat de mes recherches.

1/ origine

La maladie de Lyme a été ainsi nommée selon le nom d'une petit ville où toute une série de personnes ont présenté des symptômes diffus que les médecins n'arrivaient pas à circonscrire.

Le vecteur principal de la bactérie est la tique du cerf (Ioxdes scapularis (I. dammini)) qui transporte la maladie des animaux infectés aux animaux sains au fur et à mesure de sa migration d'un 'hôte' à l'autre. Selon les dernières études d'autres vecteurs pourraient aussi être à la base de la transmission (inter placentaire, échange de fluides corporels etc.). Mais la tique reste le transmetteur principal.

2/ Mise en évidence

La maladie de Lyme est extrêmement difficile à diagnostiquer chez le cheval car la rougeur apparue sur le corps humain après une piqûre de tique passe généralement inaperçue. Il reste donc un test de type Elisa qui repère les anti-corps produits par l'organisme. Un résultat positif ne peut être qu'un indicateur de la maladie, 90% des chevaux diagnostiqués 'positifs' sont en fait des porteurs sains.

Le diagnostic sera donc posé par un tableau clinique révélateur , confirmé par un test positif.

En outre la maladie de Lyme présente des symptômes diffus et multiples qui pourraient tout aussi bien provenir d'autre maladies virales ou bactriennes.

3/ Symptômes

voici la liste des symptômes rencontrés chez des chevaux présentant cette maladie:

* Problèmes de locomotion liés à des crampes musculaires, aplombs faussés par le soulagement d'un membre, boiteries diffuses de membres différents.
* Problèmes cutanés, dépilation pouvant aller jusqu'à une sorte d'eczéma avec prurit
* Atteintes oculaires, conjonctivite, cornée trouble pouvant aller jusqu'à de grands troubles de la vision
* Problèmes digestifs pouvant aller jusqu'à des coliques sévères
* Problèmes d'assimilation de la nourriture (le cheval maigrit malgré une nourriture riche et abondante) pouvant aller jusqu'à la cachexie
* Propension aux infections (respiratoires e.a) ou infection de plaie avec formation de 'chairs sauvages'
* Augmentation de réactions allergiques
* Augmentation de la sensibilité cutanée pouvant aller jusqu'au 'headshaking'
* Augmentation de la sensibilité de la corne pouvant aller jusqu'à une fourbure atypique
* Changement de comportement: augmentation de l'instinct de fuite, agressivité, hypersensibilité au stress, nervosité ou alors somnolence et léthargie.
* Arthrose prématurée

Les deux symptômes principaux étant le changement de comportement et la boiterie de type arthrose se présentant successivement à des membres différents et des articulations différentes sans qu'une explication autre puisse en être la cause.

Il est conseillé de faire une recherche sur les anti-corps de la maladie dès qu'au moins 3 de ces symptômes sont rencontrés et/ou que le cheval présente un mauvais état général sans qu'aucun traitement n'apporte réellement de solution.

3/ traitement

Si la maladie peut être prise dans un stade précoce une bonne antibiothérapie sur 15 jours vient généralement à bout des symptômes et il y a bon espoir pour le cheval de recouvrer la santé à 100% (même s'il restera, à vie, porteur d'anti-corps de la maladie de Lyme).

Hélas la maladie est bien souvent diagnostiquée avec un certain retard, l'antibiothérapie est toujours de mise mais il est à craindre qu'elle soit moins couronnée de succès. La borréliose devient alors chronique avec des 'poussées' répétitives et , sans soin aucun, peut même entraîner la mort de l'individu.

Conclusion

Il ne faut pas prendre à la légère un environnement infesté de tiques. Toutefois 1 cheval sur 10 seulement déclarera la maladie, elle touche essentiellement les organismes les plus 'faibles'. Il est donc utile de prendre un maximum de mesures préventives (enlever les tiques sur le cheval, l'enduire de répulsif et lui donner un maximum de chances de pouvoir vaincre la bactérie par élaboration d'anti-corps par une nourriture adaptée et éventuellement 'booster' un peu ses défenses immunitaires s'il se trouve dans un environnement 'à risques').

Le vaccin est déjà disponible pour le chien, espérons qu'il soit bientôt élaboré pour le cheval.

Pour en savoir Plus
[url]http://www.echoforum.de/test/borreliose/ (allemand)[/url]
http://www.hiway16.com/horse/Archive/2002jul16.asp
http://www.netpets.com/horses/healthspa/lyme.html
http://www.pferdemedizin.com/borreliose/
http://www.thehorse.com/search.asp?textfield=lyme&departments=6
http://www.tierecke.de/borreliose.html

MALADIE DE LYME ou Borréliose de Lyme

Etiologie

Borrelia burgdorferi, agent bactérien causal de la maladie de Lyme, est une des quatre espèces du genre Borrelia. Elle appartient à la famille des Spirocheataceae, qui avec la famille des Leptospiraceae, constituent le groupe des Spirochètes.

Borrelia burgdorferi se présente comme une bactérie non sporulée,très fine, spiralée, de 4 à 30 microns de long et 0,18 à 0,25 micron d’épaisseur, formant plusieurs tours d’hélice. Sa grande mobilité est assurée, en moyenne, par sept flagelles à chaque extrémité du germe, localisés dans l’espace périplasmique entre la membrane externe et le peptidoglycane. Son ADN génomique est linéraire.

Cette espèce bactérienne microaérophile, catalase négative, présente un optimum de croissance entre 34°C et 37°C

L’espèce Borrelia burgdorferi semble ne pas être homogène aussi bien au niveau de l’antigènicité des protéines de membrane externe que du point de vue génétique. Ainsi on distingue des souches américaines et des souches européennes, et même différents variants au sein des souches européennes. Un système de classification par sérotypie, utilisant des anticorps monoclonaux dirigés contre certaines protéines de la membrane externe permet de distinguer sept groupes différents.

Les facteurs de virulence de Borrelia burgdorferi restent, pour l’instant, inconnus.

Epidémiologie:

La maladie de Lyme a été décrite en Europe, en Amérique du Nord, en Asie et en Australie. La transmission de cette borréliose se faisant principalement par l’intermédiaire d’arthropodes, essentiellement des acariens de la famille des ixodidés (tiques), ceci explique que la maladie de Lyme sévit dans les aires de répartitions des tiques: régions tempérées comportant des forêts d’arbres à feuilles caduques, des zones de végétation dense, brousailleuses, humides. Les tiques sont absentes des régions sèches et chaudes, des régions froides, ainsi qu’au dessus de 1200 m sous nos climats. En France métropolitaine, la maladie peut être contractée sur tout le territoire.

L’Ixodes vecteur de Borrelia burgdorferi, varie selon la région géographique: I. dammini, la tique du cerf, dans l’est et le midwest américains; I.pacificus dans l’ouest américain; I. ricinus, la tique des ongulés, en Europe; I. persulcatus et I. ovatus en Asie.

Borrelia burgdorferi a été mise en évidence chez d’autres insectes hématophages: autres tiques, moustiques, tabanidés, puces. Cependant, il n’est pas prouvé que ces arthropodes puissent jouer le rôle de vecteur.

Chez les tiques, le cycle évolutif se compose de quatre stades: oeuf, larve, nymphe et adulte, tous infectants, ce qui implique une transmission trans-ovarienne et trans-stadiale du germe bactérien. Chaque stade comporte un repas sanguin. Les larves parasitent surtout les rongeurs; les nymphes parasitent les rongeurs, les oiseaux et les petits mammifères; les adultes parasitent les grands mammifères et les oiseaux. De nombreuses espèces sauvages de mammifères et d’oiseaux ont été retrouvées porteuses d’anticorps et/ou de l’agent pathogène. Chez certains

de ces animaux l’infection à B. burgdorferi peut persister plusieurs mois, voire toute la vie, sans provoquer de troubles cliniques.

Chez la tique, B. burgdorferi est retrouvée dans la paroi de l’intestin, au niveau de la bordure en brosse des cellules épithéliales et dans les espaces interstitiels séparant les cellules. Après fixation de la tique sur l’hôte, il y a passage du germe de l’intestin vers l’hémolymphe, puis dans la salive et enfin transmission à l’hôte. Ce passage nécessite un temps de contact relativement long.

La probabilté d’être infecté est donc fonction de quatre facteurs que sont:

- la densité de tiques dans une région donnée

- le pourcentage d’infection des tiques par B. burgdorferi dans cette même région

- la durée d’attachement de cette tique

- la réceptivité de l’hôte

D’autres voies de transmission sont prouvées ou soupçonnées: per os ou par voie conjonctivale à partir d’urine contaminée, par morsure d’un animal infecté, par voie transplacentaire chez les humains, les équins, les bovins et les rongeurs.

Symptomatologie chez le cheval

Dans un très grand nombre de cas, les animaux infectés ne présentent pas de signes cliniques. Seule une sérologie positive traduit le passage de l’infection.

Les manifestations cliniques, multiples, sont regroupées en deux phases:

- Une phase primaire, qui survient environ une huitaine de jours après la morsure de la tique, et qui se traduit par des signes non pathognomoniques tels que de l’hyperthermie, de l’asthénie, de l’anorexie, une baisse de forme accompagnée de fourbure. En raison du pelage, les manifestations cutanées passent souvent inaperçues: on note une hypersensibilité de la peau dans la région de la morsure, accompagnée de chute de poils laissant apparaître une peau écailleuse.

- Une phase secondaire, avec des manifestations cliniques plus caractéristiques, sous forme d’atteintes articulaires: arthrites rémittentes, avec des boiteries, des difficultés à se déplacer. ces arthrites touchent principalement les grosses articulations, qui sont alors tuméfiées, chaudes, douloureuses. Ces lésions s’accompagnent souvent d’un oedème des membres. En l ’absence de traitement approprié et précoce, ces atteintes peuvent durer plusieurs semaines à plusieurs mois après la morsure infectante avec des épisodes de rémission plus ou moins longs.

D’autres signes cliniques ont été rapportés, seuls ou en association avec des arthrites:

- Complications cardiaques

- Encéphalite avec paralysie de la queue, dysphagie, tête pendante et yeux vitreux.

- Glomérulonéphrite, avec dégénérescence de l’épithélium tubulaire

- Toux

- Chez un poney femelle, des lésions oculaires se traduisant par une kératite ulcérative unilatérale, une uvéite bilatérale, et une cataracte bilatérale.

- Des avortements et des mise-bas de poulains faibles qui meurent peu de temps après, de l’infertilité par résorption embryonnaire précoce ou par absence de conception.

Diagnostic

1) clinique

Très difficile à faire, car il s’agit d’une maladie protéiforme. L’apparition soudaine de boiteries avec oligoarthrites migrantes et problèmes de démarche, d’arthrite chronique, de pertes de poids inexpliquées doivent être considérés comme des signes d’appel. Le recours au laboratoire s ’avère néanmoins indispensable pour confirmer un diagnostic clinique de maladie de Lyme

2) Direct, par mise en évidence de l’agent pathogène

Il peut être effectué à partir:

- de liquides pathologiques provenant d’un animal vivant: sang sur anticoagulant, liquide synovial, liquide céphalo-rachidien, urines, colostrum

- d’organes provenant d’un animal mort: foie, rate, moelle osseuse, rein, poumon, cerveau, oeil.

Dans un premier temps on cherche à mette en évidence la présence de germes bactériens de type spirochétal par examen microscopique à fond noir, ou après coloration au Giemsa. Dans un second temps on confirmera l’identité du germe mise en évidence par l’utilisation d’anticorps monoclonaux marqués. Cette technique n’est pratiquée que dans des laboratoires très spécialisés.

On peut espérer que le développement de la biologie moléculaire, conduise rapidement à la mise en place d’un technique d’amplification génomique permettant de mettre en évidence le génome bactérien dans les tissus ou liquides corporels

3) Par culture

La culture de B. burgdorferi est très difficile et n’est donc par conséquent réalisée que dans des laboratoires spécialisés. Les prélèvements (identiques à ceux réalisés pour l’examen direct) réalisés stérilement, doivent être acheminés directement au laboratoire, sous régime du froid positif. Ces bactéries étant de croissance lente ( temps de génération de 10 à 12 heures à 35/37°c), les cultures sont poursuivies pendant deux mois, avec repiquage et observation hebdomadaires.

4) Par inoculation aux animaux de laboratoire

Cette méthode peut être utilisée pour l’enrichissement, voir l’isolement de Borrelia Burgdorferi. L’animal de laboratoire est sacrifié 7 à 10 jours après inoculation. La recherche et l’identification du germe bactérien s’effectuent sur différents organes et liquides corporels.

5) Par recherche d’anticorps

Les deux tests sérologiques les plus utilisés sont l’immunofluorescence indirecte, réalisée avec des cellules bactériennes entières, et le test ELISA avec soit des cellules bactériennes entières soit des extraits. Autre technique utilisée: le Western blot.

Ces techniques permettent de mettre en évidence les IgM des infections précoces et les IgG dans les infections déjà bien établies, voire chroniques. Elles peuvent s’effectuer à partir de différents liquides organiques: sang, sérum, liquide céphalo-rachidien, milieux de l’oeil, lait.



Les problèmes que l’on rencontre, viennent de l’interprétation que l’on peut donner aux résultats obtenus:

- Le manque de standardisation rend difficile la comparaison des résultats obtenus par différents laboratoires.

- Il existe des réactions croisées avec d’autres spirochètes, d’où la nécessité d’avoir un seuil de positivité correcte, et de prendre en considération la clinique pour l’interprétation des résultats sérologiques.

- La souche bactérienne utilisée dans ces tests, provient d’un repiquage in vitro de la souche de référence, ce qui peut amener à des variations au niveau de certains composants de la membrane externe par perte de gène.

- Une seule souche est utilisée dans les tests, or de nombreux travaux ont montrés que les souches européennes ne sont pas homogènes sur le plan antigénique et qu’elles différent des souches américaines.

- Des faux négatifs peuvent exister dans le cas d’infection précoce, de traitement précoce et efficace aux antibiotiques, de séquestration des anticorps.

- Dans le cas de l’immunofluorescence indirecte se pose le problème de la subjectivité de l’examinateur dans l’appréciation visuelle de l’intensité de la fluorescence.

- Dans le cas d’un test ELISA, se pose le problème du " matériel " utilisé pour coater les plaques: cellules bactériennes entières, ou protéines particulières du germes: flagelline, protéines de membranes externes. Pour ce dernier composant de la cellule, ils existe des variations entre les souches et une faible réponse immunologique vis-à-vis de ces protéines dans le cas de maladie chronique.

Prophylaxie

1) Sanitaire

Elles consistent à:

- détruire les vecteurs dans l’environnement par l’emploi d’insecticide, de parasites des tiques, en débroussaillant.

- Eliminer les vecteurs sur l ’animal, par arrachage rapide et soigneux des tiques accrochées sur la peau, par l ’emploi de substances acaricides

2) Médicale

Pour l’instant il n’existe pas de vaccin à usage du cheval

Les traitements antibiotiques faisant appel aux pénicillines et aux tétracyclines, représentent les premiers choix thérapeutiques

Chez les chevaux, la pénicilline est recommandée à la dose de 40000 UI/kg/jour à raison d’une injection intramusculaire par jour pendant trois semaines, et les tétracyclines à une dose comprise entre 6 et 12 mg/kg/jour à raison d’une injection intraveineuse par jour pendant trois semaines, ceci malgré les risques chez le cheval et le coût global du traitement. D’autre molécules peuvent être utilisées telles que les céphalosporines (ceftriaxone), l’amoxicilline, l’ampicilline. L’utilisation concomitante d’anti-inflammatoires recueille des opinions très divergentes.

Certains auteurs préconisent un changement d’antibiotique si aucune amélioration ne survient après une dizaine de jours de traitement, ainsi que l’application locale d’antibiotique à condition d’intervenir dans les 2 à 3 premiers jours après la morsure de la tique, et de renouveler au moins trois fois les applications.

Pour en savoir plus

La maladie de Lyme: une nouvelle maladie? Jacques G. MAINIL Ann. Méd. Vét., 1994, 138, 373-383

Aspect cliniques, épidémiologiques,diagnostiques et moyens de lutte dans la maladie de Lyme chez les animaux domestiques. D. TRAP GTV-1996-2-D.-015 -pp.55-59

Méthodes de laboratoire leptospirose - borreliose de Lyme G. BARANTON. D. POSTIC Unité des leptospires, Institut Pasteur - Institut Pasteur

Bibliographie de la revue Pratique Vétérinaire Equine
La maladie de lyme : une cause d'arthrite et de boiterie souvent mal connue chez les chevaux
Trap D.

Pour citer cet article en référence :
Trap D. La maladie de lyme : une cause d'arthrite et de boiterie souvent mal connue chez les chevaux. Prat. Vét. Equine 1990;22(87):49-51.

Mot(s)-clé(s) : borreliose, maladie de lyme, chevaux, arthrite, boiterie

Résumé : Devant des signes cliniques tels qu'arthrite, boiteries, oedème des membres, asthénie, dyspnée, le vétérinaire praticien doit envisager une atteinte possible par Borrelia burgdorferi, agent de la maladie de Lyme. Cependant, dans un grand nombre de cas, les animaux sont asymptomatiques. En l'absence de prévention réelle de la maladie, le traitement repose sur une antibiothérapie qui, pour être efficace, doit être entreprise le plus tôt possible

voici une thèse au format PDF

http://ethique.ipbs.fr/sdv/lyme.pdf

je te remercis STIMOROLE pour tous ces renseignement que tu as fournis, je vais les faire parvenire tres vite a ma soeur, je ten remercis encore, je redonnerais des nouvelles de CAPPARIS, trop sympas ce forum avec ses membres, merci merci!!!!!!!!!!!

pas de pessimisme!!!
pour l'instant il faut attendre...et garder espoir!''

courage miss!!!

oui

qui va piana, va sano et va lontano donc

attendons et perdons pas courage