Les cartons sont loin d'être vides mais cela ne m'empêche pas d'aller papoter avec mes biquettes. Surtout aujourd'hui avec le soleil qu'il a fait.
Par contre, contrairement à la Belgique où les biquettes ne savaient pas me voir, ici Juliette a vite fait de repérer où j'habitais dans la propriété (à une quarantaine de mètres de l'enclos). Dès qu'elle me voit elle appelle, et dès que je la quitte elle hurle comme si on allait l'égorger. Une bonne dizaine de fois et puis elle se calme.
Autre changement par rapport à la Belgique, étant donné que c'est ma propriétaire qui s'en est occupé pendant presque deux semaines et qu'elle n'avait pas toujours facile pour les faire rentrer le soir et les enfermer, mes biquettes dorment maintenant sans que la porte du cabanon ne soit mise. J'ai essayé une seule fois de remettre la porte et cela a été le scandale dans la chèvrerie